Lumières
"Nous n'avons d'autre choix que de nous laisser porter au gré des vagues de l'océan du temps"
Ji Di
Je me souviens de cette après-midi chez ma mère, il faisait chaud, j'avais le coeur lourd, rempli de ces problèmes d'adolescente. Je venais d'acheter le single d'Andrea Bocceli, "Con te partiro", le glissais dans le lecteur cd et me couchais sur mon lit après avoir entre-fermé les rideaux de mes fenêtres. Doucement le vent venait me caresser le menton, des rayons plus curieux que les autres s'infiltraient au gré du va-et-vient des tentures...
Mes soucis en tête et dans le ventre, bercée par la musique, je finis par m'endormir dans la chaleur de cette petite chambre un jour d'été.
Parfois, quand le soleil est généreux, il m'arrive de ressentir la même sensation qu'à mon réveil... Cet apaisement de l'esprit, lorsque la vie nous crie que nos problèmes ne sont pas si graves, qu' "Avec le temps, va, tout s'en va.". La fraîcheur de ces fins d'après-midi de juillet, la porte qui s'ouvre et puis claque, dans une discussion plus ou moins intéressante, ma mère et ma soeur rentrent d'avoir été faire les courses.
Après avoir fui la maison, fais des choix parfois bons, souvent douteux, après toutes ces années passées à chercher mon équilibre et mes racines... Aujourd'hui je sais que ces jours ont les parfums du bonheur.
Ji Di
Je me souviens de cette après-midi chez ma mère, il faisait chaud, j'avais le coeur lourd, rempli de ces problèmes d'adolescente. Je venais d'acheter le single d'Andrea Bocceli, "Con te partiro", le glissais dans le lecteur cd et me couchais sur mon lit après avoir entre-fermé les rideaux de mes fenêtres. Doucement le vent venait me caresser le menton, des rayons plus curieux que les autres s'infiltraient au gré du va-et-vient des tentures...
Mes soucis en tête et dans le ventre, bercée par la musique, je finis par m'endormir dans la chaleur de cette petite chambre un jour d'été.
Parfois, quand le soleil est généreux, il m'arrive de ressentir la même sensation qu'à mon réveil... Cet apaisement de l'esprit, lorsque la vie nous crie que nos problèmes ne sont pas si graves, qu' "Avec le temps, va, tout s'en va.". La fraîcheur de ces fins d'après-midi de juillet, la porte qui s'ouvre et puis claque, dans une discussion plus ou moins intéressante, ma mère et ma soeur rentrent d'avoir été faire les courses.
Après avoir fui la maison, fais des choix parfois bons, souvent douteux, après toutes ces années passées à chercher mon équilibre et mes racines... Aujourd'hui je sais que ces jours ont les parfums du bonheur.
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